Euphémisme intéressant que cette citation...Non?!
Je prendrai ici, pour réfléchir à cette phrase, l'image d'un marin perdu dans le brouillard, en pleine mer: Il ne voit plus la terre, ses instruments de naviguation ne fonctionnent plus, il est seul...
Que fait-il?
Deux options, pour le malheureux:
Que fait-il?
Deux options, pour le malheureux:
1.Il s'arrête et se laisse dériver, au gré des vagues et des courants;
2.Il avance, coûte que coûte, réglant au mieux ses voiles et son cap, parcequ'il se dit que comme la terre est ronde, il va bien finir par en apercevoir un bout, de cette terre...!
Demandons-nous alors ce que nous ferions, nous, dans un tel cas ...
Personnellement, je le ferai avancer, ce fichu bateau. Pas vous?
Revenons donc à la réalité...
Lorsque l'on a un objectif, un but, ou un rêve, on avance, jour après jour,on se donne les moyens de l'atteindre.
Exactement comme notre marin, qui, par beau temps, mène son bateau, ne perdant jamais de vue le petit point à l'horizon qu'est la terre.
Lorsque l'on a un objectif, un but, ou un rêve, on avance, jour après jour,on se donne les moyens de l'atteindre.
Exactement comme notre marin, qui, par beau temps, mène son bateau, ne perdant jamais de vue le petit point à l'horizon qu'est la terre.
Cependant, la question se pose si l'on n'a plus notre cible en vue:
Où aller, alors? Vers quel objectif?
Pourquoi continuer à avancer, si l'on ne sait pas où l'on veut aller?
Ou encore, si l'on est déjà arrivé là où l'on voulait aller?
Alors, que faire?Réfléchissez...
Comment, vous ne savez pas?!
Pourtant, vous êtes exactement dans la même situation que notre marin dans le brouillard: sans repère...
Vous êtes à la barre du plus grand navire qui puisse exister: votre vie!
Ou encore, si l'on est déjà arrivé là où l'on voulait aller?
Alors, que faire?Réfléchissez...
Comment, vous ne savez pas?!
Pourtant, vous êtes exactement dans la même situation que notre marin dans le brouillard: sans repère...
Vous êtes à la barre du plus grand navire qui puisse exister: votre vie!
La réflexion devrait donc être la même que pour notre marin, non?
Pourquoi donc est-ce plus difficile de savoir comment réagir lorsque l'on ne sait que faire de nos vies, que lorsque l'on est au milieu des éléments déchaînés?
Pourquoi donc est-ce plus difficile de savoir comment réagir lorsque l'on ne sait que faire de nos vies, que lorsque l'on est au milieu des éléments déchaînés?
Je ne connais pas la réponse à cela, si toutefois il y en a une...
D.

Qui a écrit cette phrase ? Un philosophe... un psychologue... un explorateur...
Depuis quelques jours que j'y pense, que je retourne ces mots dans ma tête,
cela m'avait toujours paru plutôt... pessimiste.
De genre, on perd beaucoup d'énergie, quand on ne sait pas où on va ; on se perd, on s'épuise.
Aujourd'hui, alors que je m'attaque plus concrètement à poser des mots sur l'écran,
tout à coup, en relisant cette phrase, je la trouve...optimiste.
Il me faut pas chercher à vouloir contrôler, mais se laisser porter,
et de belles choses imprévues peuvent émerger, on peut "aller loin" au sens figuré.
Humeur plus guillerette, optimisme ambiant, malgré la grisaille de cet hiver finissant ?
C'est quand même fou, ce changement d'appréhension de son environnement, de son entourage, des mots.
Je pense aussi à cette idée d'"aller loin dans la vie" (tu iras loin, mon fils !)
Que cela veut-il dire au juste ?
On n'a pas forcément besoin d'aller loin pour se trouver, pour se réaliser... mais le d épart au loin peut en être le préalable, la première pierre, loin de ce qui peut ressembler à une fuite
Enfin, on ne peut le savoir qu'en le tentant, non ?!
A bon entendeur... toute ressemblance avec des personnes existantes est-elle fortuite ?...